MARVA WRIGHT (USA)


Marva Wright : reine ou grande prêtresse du blues

Récemment sacrée "Queen of New Orleans" ses racines sont profondément ancrées dans le gospel

Son imposante silhouette de grande prêtresse du blues fait désormais partie des figures incontournables de la scène mondiale.

Sa voix brûlante donne la chair de poule, vous enveloppe dans un savoureux bien-être ou une étrange torpeur.

Elle se fait par magie tantôt déchirante et bouleversante, tantôt explosive et décapante.

Ses ferventes incantations, de la transe du gospel au balancement effréné du rhythm'n blues vous couperont le souffle.

Incandescente, elle passe avec subtilité de l'émotion la plus intense au débordement le plus frénétique.

Oui le blues est toujours vivant !

http://www.marvawright.com/


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PRESSE

L'imposante chanteuse de New-Orleans clôturera cette soirée: qui a peur de Marva Wright ?

La "Bluesiana Mama" n'a pas des poumons de canari! Et elle le montre dès son entrée en scène, enchaînant sans répit les titres de son dernier album, mais aussi des précédents.

Bizarre? il n'y a pas de guitare dans son groupe? Je m'en suis aperçu dès le début, mais je peux dire que c'est bien avant la fin que j'ai réalisé que cela n'aurait pas forcément amélioré de beaucoup cette prestation haletante de bout en bout.

Le trompettiste a même pris possession du rond de lumière (le temps pour Marva de s'éponger) pour nous gratifier d'un mini-show délirant-hilarant: imitations de vois féminines, grimaces, jongleries…

Marva Wright a un groupe homogène, très en place, toujours au service de son leader: on ne doit pas changer une équipe qui gagne!

Marc LOISON - Sweet Home Chicago

 

Celle qui fut sacrée "Queen of New Orleans" a fait un tabac, quelle merveilleuse chanteuse.

L'orchestre n'était pas en reste non plus. Comme avec Mighty Sam, Marva nous a gratifiés d'un concert tout en nuances, variant les intonations blues et gospel tel une Aretha Franklin.

D'ailleurs sa voix en est très proche.

I'm a Louisiana Mama cela nous n'en doutons pas. Rock me Baby, là c'était très chaud, on en redemande et comment !.

Dominique Franger - Soul bag

 

Et pour terminer la reine du New Orleans, Marva Wright, grande voix ancrée dans le Gospel, a su créer
l’ambiance finale

Christian Le Morvan - Blues Magazine