CANDYE KANE     (USA)


Une des "30 Essential Women Of The Blues"

Née en Californie, élevée dans les barrios de East L.A., maman pour la première fois à seize ans, elle devient strip-teaseuse dans les bouges de la ville, modèle pour revues spécialisées à feuilleter d'une main, et même actrice de film Hard-Core(X en Français) avant d'utiliser ses "atouts naturels" à meilleur escient: elle chante le blues.

Son passé "hot", sa généreuse plastique, sa voix explosive mais suave et son caractère entier mais sensible elle l'utilise maintenant pour notre plus grand plaisir le rhythm'n blues.

Ex-espoir de la country des années 80, elle revient avec "Knock Out", son second album, par la porte de la plus charnelle des musiques : le rhythm'n'blues. Mama célibataire et définitivement Nana, c'est son histoire personnelle ô combien pimentée qui a forgé son caractère absolu, passionnel et radicalement sensible.

L'année dernière, pour couronner son succès, Candy Kane a eu l'honneur d'intégrer sous le label "House Of Blues" une compilation réunissant les "30 Essential Women Of The Blues" auprès d'artistes aussi légendaires et prestigieuses que Bessie Smith, Etta James, Ma Rainey, Alberta Hunter.

On la surnomme "L'Annie Sprinkle du Blues" et "La rencontre de Bette Midler et de Grande Mère Thornton,"

Candye Kane a une voix d'or qui la place avec Lou Ann Barton et Angela Strechli parmi les grandes chanteuses du blues du Texas.

Entourée de musiciens pittoresques comme le bassiste surnommé "Le Grizzly" ou la pianiste Sue Palmer qui arbore une choucroute rousse de 80cm de haut sur la tête on qualifie volontiers Candye Kane de personnage Fellinien ou bien de Diva déglinguée.

Provocatrice à outrance, elle se donne corps et âme dans des prestations à l'atmosphere pittoresque voire burlesque et à chaque fois elle séduit!.

Torride et intense cette "Mama" au grand coeur ne laisse personne indifférent.

Avec ses courbes à la Jane Mansfield, son visage de Madonne, sa voix aux complaintes déferlantes, Candye Kane est remplie d'une détermination explosive.

En avril dernier n'a t'elle pas enthousiasme le public du Printemps de Bourges évoquant un Rhythm'n blues joyeux, plein de vie, et d'une liberté totale.

Les spectateurs sont restés bouche bée lorsqu'elle a joué du piano....... avec ses seins, sans vulgarité.

Un style à égale distance du Blues, Be-Bop, du Rock et de la country, Candy Kane impressionne par sa voix et sa présence scénique. Femme de tempérament, Candye Kane envoûte dès les premiers morceaux tout son auditoire.

Son show est un grand spectacle à vous donner le grand frisson. Si vous aimez les chanteuses ayant du coffre, ne réfléchissez pas et allez passer avec elle une des grandes soirées de votre vie.

Candy Kane et son extravagante pianiste Sue "Beehive" Palmer nous regale d'un show bouillonnant au swing irrésistible, aux mélodies accrocheuses s'appuie sur un répertoire éclectique, boogie, R&B, cajun et blues.

Sa prestation scénique est théâtrale, humoristique et repose sur une énergie hors du commun. Néanmoins, ses textes proclament haut et fort l'amour universel, message que tous ses fans sans exception approuveront.


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LA PRESSE

L'exubérante Candy Kane aura été la reine de cette grande fête du blues Sa bande de musiciens avec l'extravagante pianiste Sue "Beehive" Palmer qui l’accompagne depuis ses débuts, son talentueux et efficace guitariste albinos Derek O'Brien.

Elle a su enflammer une salle déjà bien "chauffée" par le Caennais Patrick Verbeke.

Un corps plantureux, une voix puissante et claire, une énergie contagieuse, et un charme fou qui hypnotise un public aux anges.

On disait d'elle qu'elle joue la provocation mais en fait elle ne fait que utiliser au mieux les atouts que la nature a eu la bonne idée de lui octroyer sans avarice.

Son prévisible et tant attendu "solo" de piano avec sa plantureuse poitrine à la Jane Mansfield a pimenté la soirée et fait exploser le public

Un grand concert par l'une des grandes chanteuse de blues du Texas, un blues joyeux et soyeux , plein de vie et d'une liberté totale

A l'évidence cette Texane et sa bande de musiciens dont le talent se dispute au pittoresque aura été incontestablement la Reine de cette grande fête du blues.

Le ressemblance avec Johnny Winter ne s'arrêtait pas à l'albinisme, il avait aussi le talent pour le guitariste Derek O'Brien.

Les spectateurs ont apprécié outre son allure pittoresque, la prestation de Sue Palmer au clavier et à l'accordéon.

Le saxophoniste David Johnson qui accompagnait Luther Allison durant ses derniers concerts était également de la partie.

Ils ont su galvaniser le public qui a pu retrouver la "Diva la Grande" et ses musiciens pour une longue séance de dédicace,  ils se sont révélés aussi "sympa" et professionnels que talentueux.

L'Éveil