BO WEAVIL   (F)


Du bon blues juteux et un son "crasseux"

Une musique entre blues rural et Chicago blues. C'est un voyage à travers la culture musicale Afro-Américaine.

Un répertoire de chansons résolument "roots" inspiré du vieux blues du Mississipi pimenté par le son électrique de Chicago

Voilà ce qui domine avec ce trio Parisien.

Vince Talpaert contrebassiste hors norme et Denis Baudrillat à la batterie et enfin nous n'oublions pas la voix éraillée  et l'harmonica de son chanteur Little Big Matt (Matt Arrow)

C'est du blues boogie à la John Lee Hoocker bien juteux qui s'adresse tant à un public puriste pour l'émotion qu'à un public profane pour ses rythmes dansant et son sens de la fête.

Les influences de Bo Weavil du blues rural de Robert Johnson et Lighting Hopkins au boogie électrique de John Lee Hooker.

Bo Weavil a un style particulier très marqué par les années 50, un son saturé bien crasseux, propre à la musique du diable.


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LA PRESSE

A Matt Arrow et son groupe Bo Weavil ont investi la scène du theatre.

Ce parisien au coeur pur est tombé dans la marmite du blues.

Leur répertoire résolument "roots" inspiré du blues du Mississippi est pimenté du son électrique de Chicago.

Sa voix rocailleuse ressemble à s'y méprendre à celle des vieux bluesmen du Sud de États Unis.

Un comble pour un jeune de 25 ans, son jeu de guitare enfin n'a rien à envier au virtuose de la scène blues.

La légende raconte qu'un musicien devait vendre son âme au diable pour jouer avec autant de dextérité.

Damné ou pas., Matt joue comme si la vie en dépendait.

L'Éveil

 

Le duo Bo Weavil (avec Matt Arrow à la guitare, accompagné de son contrebassiste-batteur) a assuré un set acoustique sans faille.

Des reprises bien senties de Slim Harpo ont réveillé chez les vieux amateurs de blues (dont je suis!) quelques bons frissons, un bon feeling a passé entre les musiciens et le public.

Malgré l'indigence du nombre (et de la batterie squelettique!), Bo Weavil a montré qu'on pouvait jouer et chanter à l'égal des grands, ceux qui, Outre-Atlantique, ont jeté les bases de ce qu'on n'appelait pas encore le Blues… Folk-song, shuffles, rag, country-blues, roots, tout nous montrait que ces deux-là ont bien bossé leur Jimmy Reed et leur Muddy Waters avant de se frotter à la scène. un groupe français prometteur!

Marc LOISON - Sweet Home Chicago

 

Tout commença par un duo merveilleux d'originalité et de chaleur, Bo Weavil
La formule est très simple : un chanteur-guitariste (slide essentiellement) et un contrebassiste.
Si vous aimez le blues bien gras et râpeux allez les voir ils sont formidables.

Dominique Franger - Soul bag

 

en 1° partie un très bon Boweavil, entre Chicago Blues et Blues rural.

Christian Le Morvan - Blues Magazine